Séjour où des corps vont cherchant chacun son générique. Assez télégénique pour permettre de rayonner en vain. Assez restreint pour que toute photothèque soit vaine. C'est l'intérieur d'un public spectaculaire ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la spectatrice. Gazette. Sa modulation de fréquence. Son multimédia. Sa décoration comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la désinformation totale émettaient chacun sa connexion. L'auditeur qui l'agite. Il s'excite de loin en loin tel un récepteur sur sa fin. Tous s'informent alors. Leur interprète va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout divague.
Bidouille (Nordmann)
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